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Ils se développent à l'international ...

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8/01/2021
  • Actu des membres

Focus sur 3 membres d'International Ouest Club qui maintiennent et développent leurs activités à l'international

Ils sont membres d'International Ouest Club, le club des exportateurs en région Pays de la Loire et poursuivent leur développement à l'international !

Ils sont membres d'International Ouest Club, le club des exportateurs en région Pays de la Loire et poursuivent leur développement à l'international !

Source : Journal des Entreprises - 18 & 22 décembre 2020 (extraits)

 

Florentaise ouvre une deuxième usine en Chine :

Après l’ouverture d’une première usine en Chine en 2016 dans la province du Jiangsu (65 000 m3 de substrat produit par an), La PME familiale Florentaise (200 salariés, 53,2 M€ de CA) qui produit et commercialise des supports de culture, tels que terreaux, paillages et amendements, continue son développement en Asie avec l’ouverture d’une deuxième usine dans la province du Guangdong, ville de Canton, la plus grande zone horticole du pays. Les équipements de production sont en cours d’installation et le début de production est attendu pour le nouvel an chinois. Le volume estimé pour 2021 devrait se situer entre 50 et 80 000 m3 de substrat à destination des professionnels de l’horticulture. À terme, la PME de Saint-Mars-du-Désert compte ouvrir une usine dans les cinq grandes régions horticoles chinoises. Chacune devrait réaliser 15 M€ de CA. "D’ici trois à cinq ans, le volume d’activités en Chine doublera celui de la France", estimait le PDG Jean-Pascal Chupin en 2019. La PME qui réalise la moitié de son CA à l’international (12 usines à l’international) compte également ouvrir deux nouvelles usines de fibre de coco en Inde.

 

LCJ Capteurs double de volume pour exporter ses capteurs de vent

LCJ Capteurs double de taille. La TPE basée à Vertou, spécialisée dans la conception et fabrication de capteurs statiques de mesure du vent par ultrasons passe de 320 à plus de 600 m². Le but : faire de le place pour du stockage mais aussi pour accueillir un robot qui lui permettra d’effectuer "toutes les tâches fastidieuses", explique Christophe Michel, fondateur et dirigeant de l'entreprise. La TPE passée cette année de 5 à 9 salariés qui réalise 72 % de son CA à l’export se prépare à monter en puissance pour les marchés américains et argentins sur les marchés de l’agriculture de précision. Historiquement présente sur le marché maritime à sa création en 2000, LCJ Capteurs réalise désormais l’essentiel de son activité sur le terrestre. Elle travaille sur des marchés très divers, comme le sport (biathlon, le tir à l’arc, l’aviron, cyclisme sur roue), mais aussi le BTP, les loisirs (parcs d’attractions) ou encore l’événementiel. La TPE qui ne dévoile pas son CA, finit l’année en croissance de 8 %, moins que les +20 % annuels habituels à cause de la pause imposée par le premier confinement.

 

Le groupe Sepro veut conquérir l’Asie du Sud-Est

Le fabricant de robots de presse à injection plastique, n° 2 dans le monde et n°1 aux Etats-Unis, se prépare à conquérir l'Asie du Sud Est avec ses nouveaux robots fabriqués à la Roche-sur-Yon. 

Sepro l’avait prévu, même avant la crise sanitaire. L’année 2020 ne sera pas une année de croissance pour le numéro 2 mondial de la fabrication de robots de presse à injection plastique. La période d’activité réduite en mars et avril a plombé un peu plus les résultats du groupe familial vendéen qui travaille pour 85 % à l’export. " On se projette vers un chiffre d’affaires en baisse de 15 % ", explique Nicolas Prefol, directeur administratif et financier de Sepro (581 salariés, 110 millions d’euros de CA). Une baisse similaire à celle encaissée en 2019. Les causes sont les mêmes : le repli du marché automobile, principal débouché de l’ETI. L’année 2020 se termine tout de même avec une note positive, malgré les impacts des deux confinements. " Le niveau de commandes est finalement supérieur à 2019 sur le deuxième semestre ", constate Nicolas Préfol.

Sepro continue donc son plan de route. L’ETI vendéenne qui a connu des courbes de croissance impressionnantes toute la dernière décennie, réussissant à quintupler ses volumes de ventes depuis 2009, garde les mêmes ambitions : devenir numéro 1 mondial en détrônant le grand concurrent japonais Yushin (689 salariés, 160 M€ de CA) et s’imposer en Asie du Sud Est avec des robots fabriqués en France, à La Roche-sur-Yon.

Une nouvelle gamme standardisée en février

C’est en effet là que se trouvent les marchés les plus dynamiques. " L’Asie reste le marché le plus solide pour les robots industriels : le stock opérationnel du plus grand adoptant de la région, la Chine, a augmenté de 21 % et a atteint environ 783 000 unités en 2019. La part des robots nouvellement installés en Asie représente environ les deux tiers de l’offre mondiale ", constate la Fédération Internationale de la robotique (IFR) dans son dernier rapport 2020.

Des nouveaux bureaux à Singapour et en Inde en 2021 :

Pour cela, Sepro s’est appuyé sur son centre R & D et son bureau d’études qui rassemblent une centaine de collaborateurs, soit un cinquième de ses effectifs. Parallèlement, Sepro étoffe aussi son réseau commercial. L’ETI qui compte déjà 11 filiales et bureaux de ventes dans le monde (États-Unis, Canada, Mexique, Brésil, Chine, Allemagne, Suisse, Espagne…) s’apprête à ouvrir un bureau à Singapour en 2021 et signe des partenariats avec des distributeurs en Corée au Sud, Malaisie et au Japon. Des ouvertures sont aussi prévues en Lituanie, en Lettonie et en Inde, l’un des marchés les plus prometteurs du moment. " En cinq ans, l’Inde a doublé le nombre de robots industriels opérant dans les usines du pays ", constate l’IFR dans son dernier rapport.

Enfin, Sepro muscle les équipes de sa filiale chinoise qu’elle avait ouverte pour suivre l’activité des clients grands comptes. " Nous réalisons 2,2 millions d’euros de chiffre d’affaires en Chine, on part de quasi rien ", analyse le directeur commercial Xavier Lucas.

En Asie, l’ETI vendéenne marche sur les platebandes de son éternel concurrent japonais Yushin, qui affiche toujours un chiffre d’affaires annuel de 160 millions d’euros, ainsi que d’autres fabricants asiatiques. Une concurrence qui ne fait pas peur à Sepro. " Si on est leader sur le marché américain, mais aussi en Allemagne et en France, ce n’est pas pour rien ! Nous proposons de l’automatisation et une solution complète qu’ils ne font pas ", argumente le directeur commercial. "Sepro n’a pas à rougir !", ajoute Benoit Furet, professeur à l’IUT de Nantes, chercheur au laboratoire LS2N. "Ils ont par rapport à Yushin, une vraie expertise sur les interfaces hommes-machines qui sont très intuitives, très faciles", poursuit le professeur.

 

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